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Dans un espace métaphysique, stratifié qui semble n'être pas seulement inscrit par des règles tridimensionnelles, dans cet espace dense, fuyant, proche de la mémoire, une mémoire plus grande qui va au-delà de notre expérience, dans cette architecture invisible qui glisse ailleurs pour nous parler d'autres paroles, dans cet espace intime créé par des formes, des couleurs, des matières, des angles du corps, dans ce clair-obscur fait de regards, de rythmes, de chutes, une humanité abandonnée regarde le ciel comme pour trouver un confort, comme pour lui dédier son propre sacrifice.